L’ART DE GOUVERNER
Du « plan comptable universel » à la décision politique « optimale ». 1/ Une grande révolution comptable, effaçant les barrières entre les comptabilités privées, commerciales, publiques et nationales s’impose. Cette demande est à concrétiser par l’établissement d’un « plan comptable universel » dans lequel tous les acteurs sociaux (de l’Etat à l’entrepreneur individuel) n’auront qu’à sélectionner les comptes codés les concernant (comptes de bilan comme comptes d’exploitation). 2/ Dans « l’Art de gouverner », l’auteur présente un premier plan comptable de ce type, en 500 comptes, tous hiérarchisés et codés. Ce plan de base est à porter aux environs de 1500 comptes par un collectif de professionnels, pour couvrir la multiplicité des réalités sociales, économiques et financières. 3/ Un « plan comptable universel et francophone » apporte et constitue les fondements d’une seconde révolution dans le traitement, la structure, la qualité, la présentation et la diffusion de l’information. Car il permet, par consolidations, à la fois l’établissement des bilans consolidés de chaque secteur d’activité (bilans sectoriels) et de chaque niveau de compétence territoriale, de l’Etat à la commune (bilans territoriaux). 4/ Le tableau de bord gouvernemental Le reclassement des bilans consolidés sectoriels et territoriaux par ministère, constitue le tableau de bord gouvernemental. Il regroupe une quarantaine de tableaux de bord ministériels et le tableau de bord présidentiel. La comptabilité est appelée à devenir la discipline majeure dans les sciences sociales appliquées. Ancrée dans le réel et l’universel, elle apporte les fondements du calcul macro-économique et l’optimisation de la décision gouvernementale.
